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  Après-midi au service de la Marquise, sa Maitresse, à l'hôtel libertin

En ce vendredi après-midi avec votre amante travestie/transgenre à l'hôtel, vous commandez du champagne, la gouvernante  d'étage que je suis, la soubrette, frappe à la porte de la chambre, vous ordonnez d'entrer. Vous me toisez, je porte talons aiguilles, bas coutures, jupe noire mouillante (mouillante) chemisier en mousseline qui laisse transparaitre de petits seins nus mis en valeur par un bustier-soutien-gorge demi-seins, la coiffure au carré, un élégant collier de soumise et sa laisse.

J'entre, vous êtes en porte-jarretelles, bas coutures,  escarpins, chemisier ouvert sur vos seins nus et qui voile à peine vos fesses, en fausse pudique je détourne mon regard.
"Pose sur la table et attends" dites-vous  avec un brin de malice, de convoitise et de condescendance. Votre amante  cherche un billet, vous le donne d'un air entendu.
"Approche," vous soulevez ma jupe, et glissez le pourboire dans mon bas, en caressant mes cuisses de vos douces mains
"Ne pars pas tout de suite".
Vous troussez alors complètement ma jupe, finissant par une une claque sur mes fesses nues, "Attends et regarde". J'obtempère.
Vous vous agenouillez devant votre amante, ouvrez son peignoir et commencez à le sucer délicatement. Puis vous me tirez par  ma laisse, me faites signe de m'agenouiller, saisissez ma tête que vous plaquez sur cette queue/clito bien  raide.
Une de nous à gauche  l'autre à droite, vous dites:
"Tu vas aimer cela petite catin, il y en a pour deux mais seulement tant que je le voudrais".

Nos langues chaudes, coquines et expertes lèchent ce sexe de chaque côté, elles se croisent,  se touchent, s'entremêlent, se mélangent, autour de ce gland trempé que nos bouches goulues engloutissent tour à tour, votre amante est aux anges. Nous nous caressons mutuellement, nos mains câlines caresses nos fesses, nos chattes, vous mouillez, ma chatte se gonfle.

 

à suivre...